lundi 28 janvier 2008

Pour mon petit homme

Mon petit bonhomme,

j'espère que je saurai t'apprendre à devenir un
vrai homme.

Que tu sauras avoir de la tendresse pour les femmes.
Ce sont de petits animaux fragiles, qui auront souvent besoin de ton réconfort et de ta force.

Sois généreux, prête-leur ton épaule sans réserve, rassure-les si elles sont inquiètes, essaie de leur offrir ton écoute et un peu d'empathie, ça ne te demandera que quelques minutes et leur rendra vite le sourire qui t'a séduit.

Fais-le, même si ces différences t'agacent et que tu ne les comprends pas bien, même si toi tu surfes sur la vie avec légèreté, parce que tu as la chance d'être un homme.

C'est le secret de l'harmonie entre deux sexes que tout sépare.

Une femme à qui on retire la tendresse, c'est comme une fleur coupée dans un vase sans eau : tu la verras vite se flétrir, s'aigrir, se faner.

Son regard perdra son éclat, sa peau sa transparence, vous vous éloignerez et peu à peu, vous regarderez comme deux ennemis.

Elle deviendra peut-être méchante si tu la prives de ton amour, car c'est sa seule raison d'être.

Mais quoi que tu fasses, tu retrouveras chez toutes la même fragilité, le même besoin d'amour.

Toi, tu auras la chance de n'être pas soumis à l'influence des hormones, tu douteras moins souvent de toi-même, on ne te demandera pas d'être séduisant, en plus d'être efficace.
Tu ne seras pas rappelé chaque mois à une physiologie honteuse et à la Souillure...

Tu trouveras auprès d'elles une oreille toujours attentive et généreuse, une main caressante pour te rassurer.

N'oublie pas ça et essaie de le leur rendre, même si tu peux être sûr qu'elles t'apporteront tout cet amour sans réserve, et sans compter.

Laisse ta place aux femmes enceintes, aux personnes âgées et à ceux qui ont été moins gâtés que toi par la vie, ne baisse pas le regard pour ne pas
voir.

Tu en sortiras grandi.

Ne renie pas leurs souffrances, regarde chaque femme dans sa singularité et ne lui donne pas les autres en exemple.

Mais je sais déjà, mon petit bonhomme, que tu auras cette Grandeur-là,
et si tu ne sais pas bien, demande à ton papa.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Traduction
(le pauvre, il sait déjà pas lire l'arial alors le windings…) :

Mon petit bonhomme,

j'espère que je saurai t'apprendre à devenir un vrai homme.

Que tu sauras avoir de la tendresse pour les femmes.
Ce sont de petits animaux fragiles, qui auront souvent besoin de ton réconfort et de ta force.

Sois généreux, prête-leur ton épaule sans réserve, rassure-les si elles sont inquiètes, essaie de leur offrir ton écoute et un peu d'empathie, ça ne te demandera que quelques minutes et leur rendra vite le sourire qui t'a séduit.

Fais-le, même si ces différences t'agacent et que tu ne les comprends pas bien, même si toi tu surfes sur la vie avec légèreté, parce que tu as la chance d'être un homme.

C'est le secret de l'harmonie entre deux sexes que tout sépare.

Une femme à qui on retire la tendresse, c'est comme une fleur coupée dans un vase sans eau : tu la verras vite se flétrir, s'aigrir, se faner.

Son regard perdra son éclat, sa peau sa transparence, vous vous éloignerez et peu à peu, vous regarderez comme deux ennemis.

Elle deviendra peut-être méchante si tu la prives de ton amour, car c'est sa seule raison d'être.

Mais quoi que tu fasses, tu retrouveras chez toutes la même fragilité, le même besoin d'amour.

Toi, tu auras la chance de n'être pas soumis à l'influence des hormones, tu douteras moins souvent de toi-même, on ne te demandera pas d'être séduisant, en plus d'être efficace.
Tu ne seras pas rappelé chaque mois à une physiologie honteuse et à la Souillure...

Tu trouveras auprès d'elles une oreille toujours attentive et généreuse, une main caressante pour te rassurer.

N'oublie pas ça et essaie de le leur rendre, même si tu peux être sûr qu'elles t'apporteront tout cet amour sans réserve, et sans compter.

Laisse ta place aux femmes enceintes, aux personnes âgées et à ceux qui ont été moins gâtés que toi par la vie, ne baisse pas le regard pour ne pas voir.

Tu en sortiras grandi.

Ne renie pas leurs souffrances, regarde chaque femme dans sa singularité et ne lui donne pas les autres en exemple.

Mais je sais déjà, mon petit bonhomme, que tu auras cette grandeur-là,
et si tu ne sais pas bien, demande à ton papa et va laver sa voiture,
ça lui fera plaisir.